Jakuta Alikavazovic : La blonde et le bunker : Une femme, une oeuvre, un gouffre
Il y a des livres qu’on ne lit pas, mais dans lesquels on se perd. La Blonde et le Bunker est de ceux-là. Un récit sans corde, sans lumière, sans promesse de sortie. On y descend lentement, happé par une voix qui cherche à comprendre une femme, et trouve au fond… une image. Et cette image, déjà, se dissout.