Lifestyle Geneva

NOUVEAUGENEVA, la section littéraire & lifestyle
Chaque semaine, retrouvez des articles inédits sur les bals, les événements élégants, les artistes genevois et les figures emblématiques qui rythment cette ville aux mille visages. Genève comme vous ne l’avez jamais lue.

Gautzoo : figures du bug émotionnel

ll peint sur des toiles, des portes, des planches, parfois même sur des portières de voiture. À travers ses œuvres éclatées, colorées, criantes, gautzoo propose un langage plastique brut, spontané, saturé de contradictions. Loin du discours policé de l’art contemporain institutionnalisé, son travail ressemble à un combat à mains nues avec l’émotion. Il n’y a pas de distance, pas de hiérarchie : tout est jeté là, sur la surface, comme un journal intime qui n’aurait jamais été relu.
« Ma conception artistique vient de mon esprit, de ce qui peut aller bien ou mal. Ma peinture reflète mon combat intérieur, mon chaos », explique-t-il.

Redonner des bals à la modernité

« La vie est un bal masqué, tout le monde y est invité. »
— Louis Aragon

Sans doute est-ce cette phrase, tirée d’un ouvrage de Louis Aragon, qui pourrait le mieux résumer la pensée de Sonia Anderson, présidente du comité du Bal de La Sarraz. Elle propose ainsi une vision neuve et apporte à notre époque moderne un souffle de magie.

L’intimité capturée : une rencontre avec Yigal Ozeri, maître du photoréalisme poétique


“ Il y a des artistes que l’on rencontre avant même de les connaître. Leurs œuvres vous happent, vous traversent, s'impriment en vous comme un souvenir ancien. C’est ainsi que j’ai découvert Yigal Ozeri. C’était il y a quinze ans, à la foire Scope Art. Une toile immense — trois femmes dansant nues dans un champ — m’a stoppée net. J’ai ressenti cette chose rare, presque physique : un mélange de douceur, de liberté, et de mystère. Derrière la surface lisse du réalisme, une faille s’ouvrait, poétique et vertigineuse

Gautzoo : figures du bug émotionnel

ll peint sur des toiles, des portes, des planches, parfois même sur des portières de voiture. À travers ses œuvres éclatées, colorées, criantes, gautzoo propose un langage plastique brut, spontané, saturé de contradictions. Loin du discours policé de l’art contemporain institutionnalisé, son travail ressemble à un combat à mains nues avec l’émotion. Il n’y a pas de distance, pas de hiérarchie : tout est jeté là, sur la surface, comme un journal intime qui n’aurait jamais été relu.« Ma conception artistique vient de mon esprit, de ce qui peut aller bien ou mal. Ma peinture reflète mon combat intérieur, mon chaos », explique-t-il.

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L’intimité capturée : une rencontre avec Yigal Ozeri, maître du photoréalisme poétique

“ Il y a des artistes que l’on rencontre avant même de les connaître. Leurs œuvres vous happent, vous traversent, s'impriment en vous comme un souvenir ancien. C’est ainsi que j’ai découvert Yigal Ozeri. C’était il y a quinze ans, à la foire Scope Art. Une toile immense — trois femmes dansant nues dans un champ — m’a stoppée net. J’ai ressenti cette chose rare, presque physique : un mélange de douceur, de liberté, et de mystère. Derrière la surface lisse du réalisme, une faille s’ouvrait, poétique et vertigineuse” . C’est ainsi que l’épouse d’Ygal a décrit sa première rencontre à la fois avec l’art et la personne d’Ygal Ozeri. 

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